Paris - Brest - Paris 2023 (1224 km / 79h24)

« Moi, si je devais résumer… » mon premier PBP aujourd’hui avec vous, « je dirais que c’est d’abord des rencontres... »

1ère Partie : Tonnerre de Brest

Comment résumer plus sérieusement ce chantier ? Ces 1200 kilomètres à parcourir en moins de 90h. Parlons tout d’abord du parcours : il est à chier :D ! Une randonnée, ça m’évoque une balade sur les petites routes de campagne de la belle France, mais là … pas du tout … Le choix a été fait (pour des raisons de sécurité) de passer la plupart du temps par des grands axes routiers, ce qui est bien dommage et, à mon sens, plutôt dangereux. Pour mes sorties vélo, j'adore passer du temps à réaliser des itinéraires qui évitent ce genre de route, et trouver de beaux paysages ou un intérêt touristique…c'est ce qui explique mon ressenti exagérément négatif.


Mais pour tous les étrangers qui refont le PBP pour la Xème fois, ce n’est pas le parcours qui compte mais cette ambiance incroyable…


Incroyable, c’est le mot ! Je ne m’attendais pas du tout à cela. Si le PBP ne montre pas le plus beau visage de la France, il affiche le plus beau sourire des Français.
Les bénévoles de la course sont aux petits oignons et les gens au bord de la route sont formidables de bienveillance. Des spectateurs de tous âges nous applaudissent dans les villes traversées et parfois au beau milieu de nulle part en pleine nuit…
Des ravitos hors course offerts de bon cœurs sont distribués tout au long du parcours et à toute heure, que ce soit pour de l’eau, un café, une part de cake ou un gâteau fait-maison.
Combien de fois, je me suis dit les gens sont fous ! les gens sont chou … juste incroyables.


Parlons un peu de vélo…
Moi qui était un cycliste plutôt solitaire, après ces années de préparation pour les longues distances, je m’aperçois finalement que j’aime avoir de la compagnie !. Même si on me l’a répété : « sur le PBP tu ne seras jamais seul » il est difficile de trouver les personnes avec qui bien rouler sans se poser trop de questions.
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Je pars avec mon ami Sameh dans la vague G au milieu de cyclistes japonais et indiens venus en nombre. Je n’avais pas conscience de l’aura de cette randonnée dans le monde. Le petit français que je suis, se sent perdu au milieu de cette foule internationale…

 



Après 3h d’attente, et sous l’euphorie de l’évènement, nous partons sur les chapeaux de roue et certainement un peu trop vite, au fil des groupes qui se font et se défont…


Vers 3h du matin, après presque 8h de vélo non-stop, nous nous arrêtons à la buvette du Ribay pour prendre un café. A ce moment là, j’ai un gros coup de fatigue, je n'ai plus envie de remonter sur mon vélo... Sameh décide de continuer de rouler et moi je pars faire un somme dans des algécos aménagés en dortoir avec des transats de jardin (oui, les gens proposent aussi des couchages … formidables je vous dis).



Après 2h de sommeil peu réparateur (c’est pas facile facile de dormir près une tireuse à bière…), je repars et finis par retrouver Sameh puis mon ami brésilien Fernando. On roule ensemble, se perd puis se retrouve sur près de 300 km jusqu’à Carhaix, dernière étape avant Brest !



Il est 20h30, plus que 90 km pour finir la première moitié du parcours mais je ne peux plus suivre… le rythme de mes compagnons est trop élevé pour moi à ce moment là, ils décident de continuer et je reste pour passer une courte nuit dans le dortoir.



Là encore, le sommeil est compliqué !
La chaleur est suffocante dans le gymnase aménagé pour accueillir les cyclistes exténués…Les lits de camps craquent à chaque mouvement, ça ronfle, ça pue l’effort long…

2h30 du mat, réveil et en route pour Brest !!

Je retrouve beaucoup d’indiens de ma vague G, ça me rassure un peu …
La nuit est froide et très humide, « It’s fucking cold ! » qu’ils me disent…
La pause m’a fait du bien, je saute de groupes en groupes et j’arrive enfin à bout des innombrables côtes de ce parcours breton.

 

A force de monter/descendre, j’ai l’impression que Brest se trouve en haut d’une énorme montagne !

J’arrive vers 7h30 à la moitié du chemin, le temps de tamponner le carnet de voyage, et je repars à la recherche d’une boulangerie pour me taper un bon p’tit kouign amann !! (on est pas venu jusqu'ici pour rien !).

Après plusieurs arrêts, je trouve le fameux gâteau et me pose face à la mer pour engloutir mon shoot de calories..

Au même endroit, se trouve un duo de cyclistes qui eux aussi s’adonnent à ce plaisir breton. Nous repartons ensemble, pour ne plus nous quitter jusqu’à Rambouillet.


Déjà 604 km parcourus en 38 heures …


2ème Partie : Maeva and the ChristopheS :

Pendant toute la première partie du parcours, je n’ai jamais réussi à rester dans un groupe stable… Certes, je n’ai jamais été seul, j’ai roulé un temps avec mes amis, j’ai tapé la discute avec des japonais, des indiens, pris des relais avec des italiens, des espagnols, des anglais, des américains… mais pas moyen de s’accorder sur la distance.



Là, avec cette jeune helvète sur sa belle randonneuse multicolore et ce grand bonhomme aux allures de coach sportif, ça roule super bien !!
Nos rythmes sont similaires et l’ambiance est joviale… On discute, on fait connaissance...

Maeva roule sur un vélo du concours des machines, elle est pimpante et très remarquée; Christophe, lui s’appelle Christophe 😊, il a des autocollants de grandes rando sur son vélo, 2 enfants du même âge que les miens, il a la voix de mon ami Constant et le physique de mon ami Ghislain...


On s’entend bien...


Les kilomètres défilent et le retour vers la capitale semble plus facile.

Après 260 km de vélos dans la journée et 867 km au total, nous arrivons au point de contrôle de Tinténiac à 23h45 …Il reste… juste 60 km jusqu’au prochain point de contrôle, mais je commence à fatiguer. 

On hésite à repartir mais on y va …60 kilomètres… c’est rien !

En route dans la nuit noire, la nuit noire et obscure, obscure et sombre, je me cogne contre un mur de fatigue. Du mal à avancer, je me recroqueville sur moi-même…


A 1h30 du mat au milieu de nulle part, un groupe de jeunes sur le bord de la route nous remotive avec de la musique à fond, hourras et corne de brume (incroyable je vous disais…), ça nous rebooste un peu mais l’énergie retombe vite.


C’est le moment des questions débiles !! Christophe et Maeva chantent et me saoulent de questions pour rester éveillés : » tu écoutes quoi comme musique ? tu aimes pas chanter ? dans le gruyère il y a des trous ? si y a plus de gruyère, il a plus de trous donc moins de gruyère … non ? »


A ce moment là, je ne suis pas très bavard, limite grognon… je n’en peux plus et je sens un problème mécanique qui pointe le bout de son nez (il y a du jeu dans le pédalier !)…


Un peu plus loin nous rattrapons un brésilien qui titube, allant de gauche à droite de la route, la tête basse. On essaie de parler avec lui mais il n’arrive pas à traduire son brésilien en anglais….Plus de tête, plus de son, plus d’image.


Moi j’évite de fermer les yeux par peur de pas les rouvrir. Les hallucinations commencent à arriver ... je vois un masque sur de plongée sur le casque de Maeva...


Bon an, mal an, nous arrivons enfin à Fougères vers 4h du matin (finalement, 60 km, ce n’est pas rien quand on est exténué …). Nous partons directement faire la queue pour entrer dans le dortoir. Encore une très mauvaise nuit de sommeil à me retourner sur des tatamis de judo durs comme du bois avec des couvertures de survie qui font un bruit infernal !


8h du mat, un tour chez les mécanos pour resserrer mon pédalier et c'est parti pour la dernière ligne droite d’un peu moins de 300 km. Durant la matinée, nous sommes rejoint par un cycliste au jersey savoyard, dont le visage m’est familier.



On papote, le courant passe bien et je me rappelle d’avoir roulé avec lui sur le BRM 400 du centenaire. Maeva est ravie d’accueillir un nouveau Christophe au sein du groupe ! improbable mais vrai :D.


Avec ce renfort, le petit groupe de 4 est encore mieux organisé et on gère bien les difficultés pour arriver en fin de journée à Mortagne au Perche (1099 km). Une dernière collation avec la famille de Maeva et on s’élance sur les 120 derniers kilomètres.


Les corps commencent à bien souffrir et la peau des fesses à bien rougir…A chaque arrêt, c’est de plus en plus difficile de se rassoir sur la selle (le monde entier est un cactus…) mais nous sommes remontés comme jamais pour terminer. Encore quelques côtes pour sortir du Perche et c’est la longue descente de 50 km jusqu’à Dreux.


Les routes sont belles ici, un vrai billard !
Christophe est en feu et se transforme en locomotive d'un train infernal…
Nous prenons tour à tour des relais bien appuyés ce qui nous fait rattraper de nombreux cyclos. Certains d’entre eux semblent être dans le dur et le souffle de notre passage leur file un sacré coup au moral : « c’est pas possible !! ».

 



Les douleurs s’intensifient, il est temps d’arriver…
Christophe a très mal au tendon d’Achille, Maeva passe son temps en danseuse et ne peut presque plus s’assoir … pour moi aussi c'est difficile; chaque relief de la route est une torture pour mon derrière.

Le point de contrôle de Dreux est visité en un éclair, le temps de pointer et manger un bout de pizza. On s’élance doucement sur les derniers 45 km tout en serrant les dents.

15,

10,

5 km avant la fin…

Les visages sont fermés jusqu’à voir les grilles du château de Rambouillet ! Le contrat est plus que rempli en arrivant moins de 80 heures après le départ.

On s’aligne côte à côte, coudes serrés pour descendre vers la ligne d’arrivée et en finir avec cette randonnée... Mythique !

 



Un grand merci à ma petite femme qui a organisé un groupe WhatsApp pour que mes enfants, ma famille et nos amis puissent m’encourager.

J’ai essayé de vous retranscrire comme je peux mon aventure. Vous m’avez été d’un grand réconfort moral ! Merci infiniment !

Merci aux vétérans des PBP pour leurs conseils avisés. David, Pierre-Antoine et Loic, … respect pour y être retourné !

Merci à mes compagnons de route à l’aller, Sameh et Fernando.

Cœur avec les doigts pour Maeva et sa famille, Christophe et surtout Christophe….A dans 4 ans ! :’D





20 Août 2023
https://www.strava.com/activities/9708790201

Ça devait faire 300



https://www.strava.com/activities/2548222183

Je voulais faire court mais il s'en est passé des choses sur ma dernière sortie ...

L'idée de base était de rejoindre Verdun puis de renter par le TGV situé 30km plus au sud sur une distance de pile 300km ! Mais tout ne s’est pas passé comme prévu. Donc départ à 4h du matin … glops … puisque le dernier départ de TGV est prévu à 18h48...300 bornes avec les pauses, les pépins mécaniques les imprévus vaut mieux prendre large (et j’ai bien fait…).

Première fausse bonne idée ! Traverser Paris à 4h30 du mat… J’imaginai la capitale plutôt tranquille à cette heure mais petit détail que j’avais oublié, nous sommes le soir de la finale de la CAN !! One Two Three viva l’Algérie ! Les rues sont encore pleines de fêtards pas très frais et les klaxons se mêlés aux sirènes de polices pour animer ce début de matinée. J’évite avec soin les champs Élysées et roule avec prudence pour éviter les débris de verres cassés sur la route, le tout avec peu de visibilité…Donc une traversée pas si simple mais j’arrive sans encombre et sans crever jusqu’à Pantin pour suivre le canal de l’Ourcq.

Je suis un peu limite en éclairage mais la visibilité sur les berges est plutôt bonne sauf au moment de passer le parc de Sevran. Ici ma frontale et mes deux loupiotes décathlon sont un peu juste pour distinguer correctement les racines qui déforment le bitume. Ca tape légèrement dans les bras mais ça passe. Une 50ène de km d’effectué, je fini de longer le canal et le jour se lève. La moyenne horaire est ridicule mais ce n’est pas grave le but n’était d’aller vite aujourd’hui. Le tumulte de Paris et sa région est maintenant passé.

Je traverse la campagne au-dessus de Maux, la température est idéale et peu de vent. La quiétude matinale est seulement troublée par l’incessant chassé-croisé des avions qui décollent ou amorcent leur descente. Normal je suis pile dans l’axe du couloir aérien de Charles De Gaulle.

108 km d’effectués, il me reste 10h pour arriver, la campagne se montre un peu plus vallonnée mais rien de méchant, tout va bien.

140 km, des côtes et maintenant les premiers coteaux ! Les champs de blé laissent place aux vignobles, j’arrive dans ma Champagne natale. Il est 10h30, le thermomètre commence à bien grimper, 28 °C au compteur et je sens mon cœur taper un peu plus fort dans les montées.

Première erreur de trace ! J’ai fait ce parcours sur un coup de tête parce qu’on est venu à parler de Verdun au boulot et que je cherchais à occuper mon quartier libre du week-end. Verdun ça doit faire pas loin de 300, y a une gare…banco ! Et j’avoue je l’ai fait un peu à la va-vite …. D’habite je décortique chaque km de mes tracés avec google map et street-view pour éviter les pièges. Là non, j’ai placé mes points, regardé de haut et roule ma poule ! Me voilà arrivé dans le parc de la Montagne de Reims…Pourquoi ne pas visiter ses charmants petits villages. Je serpente au milieu de la vigne, je monte, je descends, le paysage est magnifique mais vallonné. Arrivé dans un d’un village en bas d’une descente, je vois un chemin à moitié goudronné qui part droit dans le pentu… Oh oh j’espère que je ne vais pas me la taper celle-là ! Et merde mon compteur m’indique de tourner à gauche, on y va !

J’hésite à la grimper surtout qu’en haut je distingue des gros cailloux sur la route mais impossible de voir comment ça continue une fois en haut. Mais aller, on a signé c’est pour en chier ! Tout à gauche et c’est parti pour 200m à 15%



Et une fois en haut mes craintes se confirme ça continue sur un chemin de terre…Je redescend et choisi de prendre la belle route qui longe la montagne en contre-bas.

Quelques voitures sur cette large voie mais le terrain est beaucoup moins accidenté ! Je traverse des villages encore décorés du passage du tour de France. Je m’aperçois maintenant que 12 Jours auparavant c’est à quelque kilomètres d’ici que Julian Alaphilippe avait ravi le maillot jaune sur les pentes de la cote de Mutigny. 8h de vélo, 175km, J’ai retrouvé mon parcours initial après avoir quitté les pentes de la montagne de Reims. Il commence à faire très chaud (34 °C) et les quelques côtes gravies m’ont obligé à taper dans mes réserves. Il est temps de faire une pause sandwich sur les bords de Marne peu après Epernay. Le ventre plein et les 20 km suivant font du bien. Une belle route à voitures bien plate. Le vent de ¾ arrière c’est intensifié et je file jusqu’à la proche banlieue de Chalon en Champagne. Une rafale de vent projette un insecte sur moi et je sens une piqure sur ma cuisse à travers le cuissard. A ce moment le GPS m’indique de tourner à gauche sur un chemin agricole !!?

2ème erreur de trace :
Je fais une pause pour faire un point sur la piqure et la trace…La cuisse va bien, son pronostic vital n’est pas engagé mais j’e n’en dirait pas autant de mon parcours…il a l’air tout pourri !! Je vois de nombres angles droits sur plusieurs kilomètres, signe qu’il veut me faire serpenter entre les champs… Plan de secours, j’utilise l’itinéraire de google Map pour aller à la gare tout en gardant un œil sur ma trace d’origine. Fausse bonne idée numéro 2, il m’emmène sur un chemin recouvert de bitume qui finit en T avec à gauche un chemin de terre et à droite un autre chemin de terre avec de la grosse caillasse … Allez Hop ! C’est parti par une session de gravel improvisée. Mes pneus de 25 chassent sur ce chemin rocailleux et les agriculteurs assis dans leurs monstres climatisés me regardent passer d’un air amusé. 4 km en légère pente montante instable, sous un soleil de plomb, les yeux rivés sur les trous et cailloux en espérant ne pas tomber ou crever. Que du bonheur…

Je fini par retrouver du bitume ! Ici les parcelles agricoles sont énormes si bien que sur le GPS il est difficile de faire la distinction entre les petites départementales et les chemins. Je reste donc sur du la d994, une grande ligne droite qui file à travers champs avec de grosses rafales de vents de côté et des camions. La route me semble interminable, en plein cagnard je commence à être à sec, pas de village en vue et encore moins de cimetière pour remplir les bidons. Et pour couronner le tout un petit essaim d’abeille traverse la route et me grille la priorité sur mon passage. Je baisse la tête, ferme la bouche et plisse les yeux…ouf pas d’accident. Quelques mètres plus loin je trouve un golf sur ma route qui me permet de faire le plein et me rafraichir.

La vrai bonne idée !
220km, il me reste 4h pour arriver. Je suis paumé au milieu des champs loin de ma trace et mon GPS choisi un parcours plus adapté aux voitures qu’aux cyclistes. La bonne idée; je change de logiciel ! Je choisi Waze en désactivant les autoroutes, les voies rapides et surtout les routes non bitumées !! Il me sort un itinéraire de 60km aux petits oignons, plus court que prévu mais sur des petites routes comme je les aime. Je commence à être cramé et ma plus grosse crainte est de me retrouver face à ce vent qui forci. Tant pis pour les 300, 280 km en solo complet c’est déjà pas mal.

La fin de parcours est assez agréable. Je roule tranquillement poussé par le vent qui maintenant est dans mon dos. Les grandes étendus agricoles laissent place à des prés pour le bétail, des bois et des étangs qui rendent la chaleur plus supportable.

J’arrive à la gare de Meuse TGV avec seulement 2h d’avance sur le dernier train pour Paris après un périple de 13h10. 2550 m de D+ et 2250m de D- à 23.8 km/h . Bref, ne jamais négliger son parcours quand on part loin mais une belle aventure personnelle.

Estimation des temps sur course en fonction de sa VMA


entrez votre VMA : km/h

Distance (km) % VMA
max - min
Vitesse (km/h) Allure (min/km) Temps estimé
10 km
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semi-Marathon
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Marathon
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km
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Exportez vos données Nike+ au format gpx

nike+ 2 GPX
Depuis la mise à jour du site et du format Nike+, il était très difficile de récupérer ses données GPS pour les exploiter sur d'autres applications. S'inspirant du site eagerfeet, Matt Stuehler à développé un très bon utilitaire permettant d'exporter en masse ses activités enregistrées sur Nike+ dans le format standard GPX ! Merci Matt !

J'ai pu ainsi uploader des fichiers de ma montre Nike Sportwatch aujourd'hui défectueuse (grrrrr) sur Strava ou garmin connect. Try it !








Paris - Saint Germain : la course

Paris Saint Germain : la course 2013


Bip Bip Bip ! Dimanche 26 mai, 5h15 le réveil sonne ! après 4h de sommeil légèrement imbibé, j'ai du mal à émerger ... Quelle idée j'ai eu de m'inscrire à cette course ... comme me disait Nathalie, hier soir, entre deux verres de vin  :
Quoi !? tu cours 20 km demain matin !? mais on t'oblige à faire ça ??
Et bien oui ce matin, je participe à la 5ème édition de la Paris-Saint Germain soit 20 km avec deux belles côtes : le mont Valérien et le final pour monter au Parc du château de St Germain.

Garmin Runners soyez bienvenus chez SmashRun !

Un mise à jour importante sur SmashRun ! Ca y est ! après des mois de beta test, il est enfin possible de synchroniser ces activités enregistrées sur le site Garmin connect.

Réservé jusqu'à maintenant aux utilisateurs de Nike+, ce site (présenté ici par Djailla) permet d'afficher des statistiques intéressante sur des pages au design élégant et de vos récompenser pas des badges amusants.

Alors amis Garminois foncez ! l'essayer c'est l'adopter !